Un an de jachère culinaire et voila qu’ça m’reprend.
J’ai envie de tester des trucs, et comme ce ne sont pas les occasions qui manquent à Beyrouth, je multiplie les invitations pour avoir du cobaye auprès de qui tester mes expériences. Pour l’instant, français comme libanais ne se sont pas encore trop plaints.
Comme je profite aussi de longues journées de feignasse expatriée, c’est bien connu, j’ai en plus le temps d’immortaliser mes gloubiboulgas, ça m’éclate !
Hier soir, c’était farandole de dips à tartiner sur du pain grillé pour l’apéro. En voici deux.
Dip de radis
- une quinzaine de radis mixés grossièrement
- 2 cuillères à soupe de Philadephia oignon/ciboulette
- une poignée de persil plat ciselé
- sel / poivre
Dip de roquette aux amandes fumées
- 3 poignées de roquette (rocca au Liban) ciselée finement
- une quinzaine d’amandes fumées salées (rayon apéritif) concassées grossièrement
- 2 cuillères à soupe de Philadelphia nature
- 1 cuillère à soupe de crème liquide (ou yaourth pour les weights watchers)
- sel / poivre / jus de citron
Pour chaque dip, réunir les ingrédients, un ou deux tours de cuillère dans le pot et crac, c’est fini ! (ne pas hésitez à avoir la main lourde sur l’assaisonnement, c’est le secret)
Il y avait aussi un houmous d’artichaut/curry/noisette. Un essai d’entrée foirée reconvertie à l’arrache juste avant le repas (j’avoue, tout ce que je touche ne se transforme pas en hommage à Top Chef). Donc sans photo. Et pas de photo, pas de recette. C’était pas mal, si cela vous intéresse, je peux refaire. Il me reste encore 5 kg d’artichaut dans mon gros bocal.